3 mai 2006
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08:43
Un week end entre amis, ça se prépare... et celui qui s'approche va être terrible.
Chaque jour, de nouvelles munitions arivent. La semaine dernière le bataillon coopératif de Lambesc nous a livré du sang du Christ prêt pour les transfusions.
Hier soir, c'est de chez les italodunkerquois que sont venues les rations ordinaires, et en extra de la bonne verveine qui soigne tous les maux.
La musique a été livrée en temps et en heure, la fanfare est prête et tu as le titre de la compil' en avant-première (secret-défense, n'en parle pas...) : From London to Paris...
Le menu est encore en concertation, ce qui est sûr c'est que les cuistots travailleront jour et nuit pour entretenir les troupes.
Je les vois déjà, ces grognards, vendredi en fin de journée, leur baluchon sur l'épaule, le regard lointain, qui partant du Vaucluse, qui d'Albion, quittant leur femme en pleurs et leurs enfants hurlant, accrochés au bas du pantalon paternel...
A eux, qui par devoir vont se sacrifier à la capitale, je lègue ce morceau d'amour printanier qui m'a mis en joie ce matin, une joie légère et fraîche comme l'air sénaquais en ce mois de mai...
Chaque jour, de nouvelles munitions arivent. La semaine dernière le bataillon coopératif de Lambesc nous a livré du sang du Christ prêt pour les transfusions.
Hier soir, c'est de chez les italodunkerquois que sont venues les rations ordinaires, et en extra de la bonne verveine qui soigne tous les maux.
La musique a été livrée en temps et en heure, la fanfare est prête et tu as le titre de la compil' en avant-première (secret-défense, n'en parle pas...) : From London to Paris...
Le menu est encore en concertation, ce qui est sûr c'est que les cuistots travailleront jour et nuit pour entretenir les troupes.
Je les vois déjà, ces grognards, vendredi en fin de journée, leur baluchon sur l'épaule, le regard lointain, qui partant du Vaucluse, qui d'Albion, quittant leur femme en pleurs et leurs enfants hurlant, accrochés au bas du pantalon paternel...
A eux, qui par devoir vont se sacrifier à la capitale, je lègue ce morceau d'amour printanier qui m'a mis en joie ce matin, une joie légère et fraîche comme l'air sénaquais en ce mois de mai...