22 septembre 2005
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23:00
Une valse. Une valse et je pense à toi. "Si c'était ça la vie", de la compagnie Lubat, transcription d'Indifférence, de Tony Murena.
Elle tourne à 100 à l'heure, elle virevolte, elle est balancée comme une belle méridionale qu'elle est.
Irrémédiablement, je pense à toi, je nous vois, les yeux dans les yeux, tes cheveux au vent, tourner à perdre la tête, tourner...Sourire aux lèvres tu me fuis, tout ton corps me fuit, force centrifuge je voudrais rentrer en toi fusionner mais la valse nous sépare, implacable, envoûtante, nous n'existons plus comme individus, nous sommes elle.
Une valse.
Elle tourne à 100 à l'heure, elle virevolte, elle est balancée comme une belle méridionale qu'elle est.
Irrémédiablement, je pense à toi, je nous vois, les yeux dans les yeux, tes cheveux au vent, tourner à perdre la tête, tourner...Sourire aux lèvres tu me fuis, tout ton corps me fuit, force centrifuge je voudrais rentrer en toi fusionner mais la valse nous sépare, implacable, envoûtante, nous n'existons plus comme individus, nous sommes elle.
Une valse.
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