13 septembre 2005
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23:00
Bon, j'imagine que tu ne rentres pas du rugby tous les soirs. Moi-même, en fait, c'est un coup de deux fois par semaine, et encore la deuxième fois généralement, je suis ému, si tu vois ce que le petit gros en salopette à rayures voulait dire.
Mais quel bonheur de se vider, se dépenser, se faire mal...
Je sors du boulot tout à l'heure, crevé, maussade, à la fois avachi et plein de rancoeur, d'énervement, de tristesse, la fin d'une journée de boulot, quoi. ;o)
Bref, dans ces moments tu sais, on a envie soit de rentrer à la maison faire une partie de street fighter turbo ninja 2007 et défoncer la gueule des méchants à coups de lattes dans la gueule, soit de se vautrer comme une merde devant un truc débile, soit d'aller boire des coups avec les copains (ça c'est la méthode civilisée).
Mais the point is, j'aime pas les jeux de baston seul, j'ai pas la télé et il faut que j'arrête de picoler pour retrouver mon corps d'éphèbe.
C'est là que je puise le courage pour faire dix stations de RER et aller me rouler dans la boue avec des plus forts que moi. Pendant deux heures, on se rentre amicalement dans la gueule, on court comme des cons derrière un ballon qui rebondit bizarre on rentre nos têtes dans le postérieur du gars devant bref, on se dépense joyeusement.
Et là tu rentres à la maison, paf, t'es serein, heureux, tranquille comme Baptiste (c'est qui ce mec, d'ailleurs, Baptiste? Quelqu'un a un dictionnaire des expressions usuelles?Est-il possible que ce soit Saint Jean? Va savoir).
Enfin, je voulais te dire que je suis bien, c'est cool, vive ce moment où on est content d'avoir couru et qu'on n'a pas encore de courbatures!
Le costard va peser lourd demain :o)
Mais c'est un autre jour! A+
Mais quel bonheur de se vider, se dépenser, se faire mal...
Je sors du boulot tout à l'heure, crevé, maussade, à la fois avachi et plein de rancoeur, d'énervement, de tristesse, la fin d'une journée de boulot, quoi. ;o)
Bref, dans ces moments tu sais, on a envie soit de rentrer à la maison faire une partie de street fighter turbo ninja 2007 et défoncer la gueule des méchants à coups de lattes dans la gueule, soit de se vautrer comme une merde devant un truc débile, soit d'aller boire des coups avec les copains (ça c'est la méthode civilisée).
Mais the point is, j'aime pas les jeux de baston seul, j'ai pas la télé et il faut que j'arrête de picoler pour retrouver mon corps d'éphèbe.
C'est là que je puise le courage pour faire dix stations de RER et aller me rouler dans la boue avec des plus forts que moi. Pendant deux heures, on se rentre amicalement dans la gueule, on court comme des cons derrière un ballon qui rebondit bizarre on rentre nos têtes dans le postérieur du gars devant bref, on se dépense joyeusement.
Et là tu rentres à la maison, paf, t'es serein, heureux, tranquille comme Baptiste (c'est qui ce mec, d'ailleurs, Baptiste? Quelqu'un a un dictionnaire des expressions usuelles?Est-il possible que ce soit Saint Jean? Va savoir).
Enfin, je voulais te dire que je suis bien, c'est cool, vive ce moment où on est content d'avoir couru et qu'on n'a pas encore de courbatures!
Le costard va peser lourd demain :o)
Mais c'est un autre jour! A+
PS: si quelqu'un pouvait éclairer ma lanterne pour tranquille comme Baptiste, je t'aimerais, toi...