5 avril 2007
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16:29
Merci à toi, jolie jeune femme blonde qui marchait sur le trottoir devant la faculté de médecine ce matin, pendant que le bus 87 piaffait tel le chef de course dans les startings blocks, merci à toi qui portais une très courte jupe en coton léger, grise.
Tes cuisses musclées la faisaient virevolter au rythme de ton déhanchement rapide, nerveux.
Elle éclatait en corolle, légère et insoumise.
Tes jambes, longues, fuselées, m'ont fait penser à la réflexion de Charles Denner dans le merveilleux Homme qui aimait les femmes de François Tuffaut : "les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie", ou encore : "Pour moi, rien n'est plus agréable à regarder qu'une femme, pourvu qu'elle soit habillée d'une robe ou d'une jupe qui bouge au rythme de sa marche".
Je souscris, et je te remercie, jeune femme blonde, toi dont je n'ai même pas vu le visage. Et d'ailleurs, je n'en avais cure, captivé par ta démarche, je rêvais en écoutant Alle Prese Con una Verde Milonga, de Paolo Conte... Beau moment, l'esprit perdu.
Tes cuisses musclées la faisaient virevolter au rythme de ton déhanchement rapide, nerveux.
Elle éclatait en corolle, légère et insoumise.
Tes jambes, longues, fuselées, m'ont fait penser à la réflexion de Charles Denner dans le merveilleux Homme qui aimait les femmes de François Tuffaut : "les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie", ou encore : "Pour moi, rien n'est plus agréable à regarder qu'une femme, pourvu qu'elle soit habillée d'une robe ou d'une jupe qui bouge au rythme de sa marche".
Je souscris, et je te remercie, jeune femme blonde, toi dont je n'ai même pas vu le visage. Et d'ailleurs, je n'en avais cure, captivé par ta démarche, je rêvais en écoutant Alle Prese Con una Verde Milonga, de Paolo Conte... Beau moment, l'esprit perdu.