13 février 2007
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18h40. Arrivé à la gare TGV d'Aix en Provence cinq minutes avant, j'achète Le Monde. On fout les voyageurs d'idTGV sur le quai, par 5°C.
18h45. Le train a cinq minutes de retard. Le gros titre : "Ségolène Royal avance 100 propositions . La candidate n'a pas encore chiffré son programme".
Je me dis que Le Monde a choisi son camp, et qu'il n'est pas de gauche...
C'est amusant comme quand un candidat de gauche propose d'aider les plus faibles on lui répond "ha, ha, et avec quel argent?" alors que quand un candidat de droite veut baisser les impôts des plus riches, personne ne pose la question.
Hé, mon grand, une baisse d'impôt, ça se finance, aussi...
19h05. Le train part enfin, il ne va pas très vite.
20h. Dans l'ambiance feutrée de la première classe, une voix s'élève, elle est rythmée en diable. L'accord sobre gris et bordeaux des sièges, des murs et des plafonds tremble. Mes épaules se haussent, mes jambes frétilles, mon regard s'adoucit. J'ai l'air d'un chat dans un micro-ondes, sauf que je suis heureux.
Jamiroquai vient de lancer les premières mesures du Space Cowboy dans mes bananes par l'intermédiaire de mon accélérateur personnel de cancer du cerveau.
Merci Apple© .
22h05. J'ai décidé depuis un petit bout de temps de me faire une petite Paolo Conte session en arrivant à Paris. La Seine est belle sous la pluie. Le bus 65 est tout pourri, une porcherie.
22h20. En arrivant à Bastoche, je suis presque chez moi. Camille chante qu'elle ne peut pas quitter Paris (Paris, tu paries, paries, que je te quitte...).
Désolé, Paris, mon camarade, je t'aime comme un vieux frère, mais moi je peux... Question des semaines maintenant j'espère.
18h45. Le train a cinq minutes de retard. Le gros titre : "Ségolène Royal avance 100 propositions . La candidate n'a pas encore chiffré son programme".
Je me dis que Le Monde a choisi son camp, et qu'il n'est pas de gauche...
C'est amusant comme quand un candidat de gauche propose d'aider les plus faibles on lui répond "ha, ha, et avec quel argent?" alors que quand un candidat de droite veut baisser les impôts des plus riches, personne ne pose la question.
Hé, mon grand, une baisse d'impôt, ça se finance, aussi...
19h05. Le train part enfin, il ne va pas très vite.
20h. Dans l'ambiance feutrée de la première classe, une voix s'élève, elle est rythmée en diable. L'accord sobre gris et bordeaux des sièges, des murs et des plafonds tremble. Mes épaules se haussent, mes jambes frétilles, mon regard s'adoucit. J'ai l'air d'un chat dans un micro-ondes, sauf que je suis heureux.
Jamiroquai vient de lancer les premières mesures du Space Cowboy dans mes bananes par l'intermédiaire de mon accélérateur personnel de cancer du cerveau.
Merci Apple©
22h05. J'ai décidé depuis un petit bout de temps de me faire une petite Paolo Conte session en arrivant à Paris. La Seine est belle sous la pluie. Le bus 65 est tout pourri, une porcherie.
22h20. En arrivant à Bastoche, je suis presque chez moi. Camille chante qu'elle ne peut pas quitter Paris (Paris, tu paries, paries, que je te quitte...).
Désolé, Paris, mon camarade, je t'aime comme un vieux frère, mais moi je peux... Question des semaines maintenant j'espère.